vendredi 14 février 2014

SCC2/3 - Un roman-tonneau du villageois... A propos des faits authentiques que ce roman rapporte



Après avoir présenté quelques personnages et les lieux de mon roman, j'en viens aux faits.


Ces « faits », tels que racontés dans mon roman, ont été fantasmés, découpés en séries et séquences plus ou moins autonomes et mis en scène, en dialogues, en musique et en décor par la société productrice de la série, à savoir la Société de l'Outrance Jupilérienne, en sigle SOJ, une société de buveurs de bière dont, comme chacun sait, j'ai été le président-fondateur et le principal actionnaire (ou, si on préfère, l'Autorité Morale incontestée) et, avant d'être frappé… Kake !, par une pancréatite aussi débilitante que fulgurante.

C'est la SOJ, en effet, qui a déterminé l'argument et fixé le canevas de l'histoire dans laquelle mes personnages sont amenés à évoluer.

C'est elle aussi qui a inspiré mes aventures de hibou oreilles de chat !
Le hibou à oreilles de chat ? 
Qui c'est ? 
C'est un oiseau du soir et de la nuit, un redoutable chasseur nocturne possédant des pinceaux de plumes au bout de ses oreilles, respecté par son gibier1, sachant se faire craindre, invisible pendant la journée, installant son nid au creux d'un arbre ou dans un grenier, descendant rarement à terre, ne s'exposant pas à la lumière du jour et attendant le coucher du soleil pour partir en chasse, louvoyant entre les arbres, silencieusement et possédant... Mais oui !, une ouïe remarquable et une vision très développée lui permettant de voir distinctement dans l'obscurité la plus totale. 
Le hibou à oreilles de chat, observant les branlements, les ondoiements et les frémissements, guettant les craquements, les bruissements et les murmures.... Puis fondant sur sa proie !

Et, présentement, c'est ma femme mariée, présidente-co-fondatrice de la SOJ par affinités et mariage subséquent, qui me détermine à voyager.
- Hola caracola ! Hola querida ! Likambo nini ? Que tal ?
- Ton absence commence à me manquer, Douchka ! Sois gentil, accepte d'être un peu mort et disparais pour quelques mois ! Quand repars-tu ? 
- M'enfin, petite chérie na ngai, ne suis-je pas ton mari préféré ?

- Oui mais...
- Mais quoi ? Tu ne supportes plus de me voir traîner dans tes pattes ? Tu voudrais que je fasse des efforts, que j'apprenne à changer les ampoules du couloir et à te faire des croque-monsieur ou une omelette bien baveuse ? Tu désespères de faire de moi une personne élégante ? Je ne te fais même plus RIIIR ? Tu as envie d'être seule ? 
- Non mais...
- Pourquoi devrais-je te quitter alors ?
- Pour que je puisse respirer, ko ! Et récupérer ma part de couette ! Celle que tu m'arraches toutes les nuits, vers 3 heures du matin, sans même t'en rendre compte ! 

- Et notre couple, alors ? Que devient-il ?
- Le téléphone, ça existe, non ?
C'est elle qui m'envoie au maquis dans la canton de Djaba, à quelques quarante kilomètres de Mélo, en République d'Awoyo, un pays d'écrivains dont les habitants connaissent la force des mots et désignent du même nom, indistinctement, tous les membres des « forces de l'ordre » : policiers ou militaires, gardes-parcs, gardes industriels, appelés tous des « corps habillés » ! 2

Et les faits que je rapporte dans mon buku-feuilleton sont évidemment « fictifs ». C'est tout dans ma tête que ça se passe, une tête de hibou à oreilles de chat où, parfois tout s'embrouille. 
Panne technique ? Vis elongwe ? Clapotage gastrique ou intestinal ? Des fois j'fais des choses que j'contrôle pas ? C'est le cerveau qui grippe ? Un hublot de ma boîte crânienne qui explose en plein vol ? 

Et ces « faits fictifs » que je rapporte sont inspirés du monde réel, sans aucun doute, mais aussi de quelques aventures rocambolesques et délirantes racontées par différents auteurs de romans dont les ouvrages figurent dans la bibliothèque-WC et galerie d'art (avec œuvre unique) du maquis-gîte rural de Nassogne, dans la canton de Djaba. 
Des « faits fictifs » donc ou, à tout le moins, redécoupés, retravaillés, ravaudés, reprisés. 
Avec, certes, des morceaux ou des moments « hurlants de vérité » mais émanant de provenances diverses, dans l'espace et dans le temps : copiés-collés, mélangés, mixés, brassés, tannés et corroyés, malaxés, panachés, métissés, accouplés, amalgamés, entassés dans des tonneaux de villageois awayolais, des pinatas mexicaines ou des estomacs de moutons écossais, mis à décanter ou mis à mariner dans de grandes bassines ou des casseroles de Gargamel avec du Lotoko, du pili-pili, des racines aphrodisiaques et des aromates. 
Et, en fin de compte, soigneusement essorés, asséchés et repassés, découpés et recomposés. 
Et cousus les uns aux autres comme les pièces de tissus d'un pagne kizobazoba.

Des « faits fictifs » et des propos édifiants  aussi : des éclairages ou des démonstrations  prétentieuses, pompières et laborieuses. 

Ces faits et ces propos étant suivis ou précédés d'aventures de hibou oreilles de chat, de farces grossières, de pitreries lamentables et de vilains coups de pied dans les génitoires, de bouffonneries, de clabaudages et de gaillardises.

Et tout ce fatras indigeste baignant dans une sauce gluante, liante et adoucissante… Mais légèrement pimentée tout de même ! Pour décourager les maraudeurs !, à base de gombo ou d'adémé. 
Une sauce gluante constituée de différentes séquences plus « personnelles » ou « familiales » de mon buku, des séquences qui devraient,normalement être déclarées «  à diffusion restreinte ou particulière »  : chroniques de rêves tapageurs, d'élucubrations fanfaresques et d'événements « familiaux »3 censés se dérouler ou se produire un peu partout dans le monde mais principalement  dans la Châtellenie d'Awel, en République d'Awoyo, au Royaume de Jupiler4 et dans la République autocratique du Luabango, scènes d'amour-ménage5opposant Vié ba Diamba (alias Douchka) à sa femme mariée (alias Mwana Danzé)

Voici donc l'assaisonnement. 

On l'aura compris, les faits relatés dans ce roman relèveront dès lors, tout simplement, de la LIT-TE-RA-TU-RE.
Toute similitude avec des faits réels dont je reconnais volontiers m'inspirer… Avec gourmandise ! sera donc purement fortuite.
Il m'arrivera certes, de temps en temps, de piller presque mot à mot6 quelques dépêches d'agence et communiqués, articles et revues de presse (rédigés, diffusés, retransmis et/ou commentés par Radio Okapi, la Voix des Sans Voix, l'Asadho, l'ACP, l'APA, Congoforum, AfriKarabia, Jeune Afrique, RFI, Eurac, l'AFP, Belga, 7sur7, Xinhua, etc)7 ou des livres et revues d'histoire figurant dans la bibliothèque-WC et galerie d'art (avec œuvre unique) du maquis-gîte rural de Nassogne, relatant des faits de crapulerie ordinaire et de crapulerie d'État et rapportant les actes de résistance qui leur ont été opposés.
Des dépêches ou récits repris quasiment mot à mot parce qu'il serait périlleux ou fastidieux de réécrire à ma façon des événements réels (du temps passé ou du temps présent) qui ont déjà été portés, de façon exacte et précise, à la connaissance de tout le monde et commentés, très largement et de façon très détaillée, par différents médias et historiens: les accointances d'un philosophe français et d'une Haute-Hiérarque de Russie, la décapitation de Fabre d'Eglantine, l'irrésistible ascension de Seskoul, l'Aigle de Kawele, le « Roi Christophe du Zaïre » et sa mort en exil, au Maroc, le 7 septembre 1997, l'assassinat d'un colonel qui serait devenu trop populaire aux yeux de certains, une pseudo-tentative de coup d'État imputée à une secte religieuse ou à  une « vingtaine d'inciviques » ou à un « groupe de voyous et de malfrats », une perquisition menée chez un sorcier légataire dont l'étoile aurait commencé à baisser, la liquidation d'Udjani Mangbama « Etoko » ou de Paul Sadala « Morgan », la mort subite et insolite du sergent-major Arsène Ndabu Ndongala, les gesticulations verbales, démentis péremptoires et « regrets sincères » de Tshaku, le menteur d'Etat et sorcier régalien chargé de la mobilisation, de la propagande, de l'animation politique et de l'éducation du peuple (et coordinateur stratégique de la pensée unique à l'usage des ensorcelés) et porte-parole du Grand Conciliabule de la République autocratique du Luabango, etc...
Les quelques « emprunts » que je m'autoriserai dans la relation de certains événements viseront alors, très précisément, à exposer un contexte et à restituer une ambiance.

Par ailleurs et il faut le signaler dès à présent, ce roman, mon roman « na ndenge na nga » ou mon « roman-réalité », entendra particulièrement être une arme contre la crapulerie
Contre la crapulerie, en effet, tout est bon, du moment que ça pète en public, en grande pompe, et que l'explosion fasse de l'effet et que tout le monde soit au courant et que l'opinion se réveille et que l'opprobre et le ridicule finisse par accabler les crapuleux8 et leurs commanditaires. 
Ou ceux qui, comme La Malibran, la diva de la Châtellenie d'Awel...


Ndlr (2016) : Ou celui qui la remplace au sein du Grand Conciliabule depuis le remaniement du 7 décembre 2014: M'Bwate, alias "Judas" ou le faux-jeton, un ancien seskouliste et tenor du barreau 


couvrent leurs « sting operations » et autres agissements en marge de la loi.

Chacun se bat avec son pot et les moyens de son bord. 
On peut ainsi déposer un étron de chien bien fondant avec des bougies roses d'anniversaire piquée dedans à l'entrée de l'hôtel particulier de La Malibran, une sorcière régalienne ayant commerce avec des crapuleux. 
On peut également… La première séquence de mon buku-feuilleton y est consacrée !, bombarder les sorciers de pralines fourrées à la boule puante qui empestent la chair en décomposition et qui leur explosent à la gueule: des pralines qui éclatent comme des concombres gicleurs... projetant leurs graines à une vitesse avoisinant les 100 kilomètres à l'heure jusqu'à huit mètres de leur plante mère.

J'écrirai donc mon buku, mot après mot, phrase après phrase, paragraphe après paragraphe, plan après plan, séquence après séquence. 
Je fixerai un cadre général, très souple et très approximatif à l'intérieur duquel, peu à peu, je construirai mon ouvrage, plaçant ou emboîtant les unes aux autres les différentes pièces… Quelquefois contradictoires ! Mais ça ne gêne absolument pas !, d'un puzzle ou d'un lego, à mesure qu'elles me parviennent, qu'elles se font, s'inventent, se dessinent. 

J'écrirai un tonneau du villageois, une poupée russe ou un oignon frileux qui, pendant l'hiver, l'Harmattan ou la saison sèche, n'arrêtera pas de se couvrir de nouvelles couches. 
J'écrirai un arbre à vœux ou un arbre à poules. 
J'écrirai un gibet auquel j'accrocherai un épouvantail et que j'habillerais peu peu. 
Au taux du jour. Au gré du hasard. Au hasard des rencontres. 
Avec des pièces neuves et des tombola bwaka. Sans plan ni projet directeur. Sans esprit de méthode. Le grenier avant la cave. Les balcons avant les murs porteurs.

J'écrirai au jour le jour avec la ferme intention de diffuser, l'une après l'autre, les différentes séquences de ce buku à mesure que je les écris
Des séquences qui se succéderont, certes mais qui seront toutes plus ou moins autonomes et autosuffisantes. 
Je les diffuserai au fur et à mesure. 
A mesure que je les écrirai et compte tenu de l'évolution de l'affaire de Mopoie et de Bangazegino.

Voilà la façon dont je vois les choses... mais je me doute bien que ça ne se passera pas comme ça. 

Et que je serai sans doute amené alors, peu à peu, mot après mot, phrase après phrase, paragraphe après paragraphe, plan après plan, séquence après séquence, à progressivement délaisser la Châtellenie d'Awel, la République d'Awoyo et le Royaume de Jupiler. 
Et que je serai amené à prendre pied de plus en plus profondément en République autocratique du Luabango. 
Et je serai obligé de devenir de plus en plus pointu et de plus en plus documenté, 
de moins en moins onirique et de moins en moins farceur, 
de plus en plus incisif et de plus en plus accusateur...

Tels sont les termes de référence de mon roman « Sorciers, « services » et crapuleux ». 

Je m'autorise ce dernier galop alors même que… Je le sens bien !, je régresse, je décline, je dépéris et que j'ai conscience d'avoir perdu une bonne partie de mes moyens... pour voir si je tiens toujours en selle, ce qui n'est pas prouvé

Tadam tadaaam ! Batterie, tambours, trompettes et saxophones ! Guitares solos, guitares rythmiques et guitares basses ! Verckys vole comme un papillon et pique comme une abeille ! Franco attaaaque ! Bassines et casseroles, gongs et maracas, bouteilles de Mongonzo, klaxons, sifflets et sonnettes de vélo! Simaro Massiya Lutumba perpétue ! Zaïko Langa Langa, Papa Wemba, Evoloko Joker, Pépé Kallé, King Kester Emeneya, Werrason, JB Mpiana, Ferré Gola, Fally Ipupa et de nouveau Zaïko Langa Langa assurent ou disparaissent ! Cris des atalakus !  Ah tala ku, tala ku mama, zekete zekete ! Course au pouvoir, Mbiri-Mbiri, Kwiti-Kwiti, Nzinzi et Diarrhée verbale ! Vimba Vimba ! Mama Siska ye wana ! Ya Mado ! Djuna Djanana a pris du champ mais Sexion d'Assaut et Maître Gims (alias Gandhi Djuna) sont désormais 
- Des fois j'fais des choses que j'contrôle pas ! 
passés à l'offensive !
Bousculades à l'entrée et bagarres à la sortie du stade ! Explosion de pralines fourrées à la boule puante et lancer de cacas Molotov ! On va bien RIIIR !

Sauf le général***

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1 Respecté par le gibier ? Cela ne signifie pas que le gibier aime être mangé par cet enfant de la lune. Il ne faut pas exagérer.

2 Des « corps habillés » ! Cela permet sans doute d'éviter de qualifier ces coupeurs de route (financés quelque fois par un « manager » ou un « investisseur » : un haut-gradé, un homme ou une femme politique, un pasteur ou un simple commerçant de la place ou de la région leur servant, tout à la fois, d'armateur, d'informateur et de receleur) de « soldatesque indisciplinée » ou de « bande d' hyènes affamées » ou de « meute de soudards ivres ou drogués, pillards, violeurs et sanguinaires » qui font que les abords des camps de la police ou de l'armée figurent parmi les endroits les plus dangereux… A éviter absolument ! Surtout la nuit ! et les moins sûrs de la République autocratique du Luabango. Ohoooh ! J'sens qu'j'vais m'l'approprier vit'fait c't'expression-là ! 
Et ça vaudra pour toutes les variétés de prédateurs que je rencontrerai dans mon roman : membre de la police des frontières et agents de l'immigration en uniforme, membres de la police des mines chargés de « sécuriser » les mines et les centres de négoce, membres de la police fluviale, de la  police dite « de proximité »...

3 Les histoires « familiales » que cette nouvelle série racontent, en effet, relèvent du domaine public et intéressent tout le monde. 
Tout comme les histoires fermières, potinières, romantiques ou même polissonnes des familles Osbourne, Pfaff, Loiseau, Saxe-Cobourg Gotha, Simpson, Adams… ou celles de quelques couples célèbres : Krjemelik et Lubava, Kim Kardashian et Kanye West, Adam et Eve, ces très jeunes mariés qui ont été chassés... 
- Emportez tout ! Même les draps que vous avez souillés ! Ne laissez aucun souvenir : ni traces, ni odeurs, ni capotes ! Pas même un trognon de pomme !
- Un paradis pamba-pamba ! Un paradis pour serpents, ouais ! Laissé à l'abandon et squatté à présent par des djihadistes, oh !

méchamment du club de vacances « Paradis terrestre » où un généreux sponsor les avait invités à passer gratuitement et en direct leur nuit de noces, filmée et retransmise sur toutes les chaînes de la chrétienté.

4 Kermesse, friteries ou baraque à frites, le Royaume de Jupiler est aussi une équipe de football dont les supporters s'habillent en noir, jaune et rouge.
- Surtout les francophones (sauf les amateurs de Chimay bleue, d'Orval, de Leffe ou de Rochefort) tandis que les néerlandophones ont plutôt tendance à préférer la Maes (sauf les amateurs de Duvel, de Westmalle triple, de Grimbergen ou de Westvleteren) !
- Et les Bruzoutois ?
- Ceux-là, ils boivent tout : la Jupiler ET la Maes (sauf les amateurs de Gueuze, de Faro ou de Kriek) ET même la Stella !


Par ailleurs, en matière de fabrication de frites... 
- Oublions le saindoux ! Passons à l'huile d'arachide, de tournesol ou de soja ! Expérimentons l'huile de palme, comme pour le chocolat ! 
n'oublions pas que le Royaume de Jupiler, premier importateur mondial de frites surgelées, est en mesure de donner des leçons (de savoir-faire... d'arrangements boutiquiers, plan foireux, atermoiements funestes et précipitations inconsidérées, astuces, feintes, esquives, débrouilles ou dérives : zijn plan trekken... et un carnet de commandes toujours bien rempli) au monde entier !

5 On peut d'ailleurs se poser la question : ce livre ne se résume-t-il pas finalement en une gigantesque scène d'amour-ménage, montée de toutes pièces, opposant la femme mariée de l'un au mari préféré de l'autre, une course au pouvoir dans la couple ?

6 Je ne vais pas me mettre à romancer des infos rendues publiques par différents organes de presse accessibles à tout le monde. En les reproduisant presque textuellement, je permets aux esprits curieux... Un simple Google devrait leur suffire ! de situer dans le temps les faits rapportés, de vérifier leur exactitude des informations et la fidélité de mes « emprunts » et, s'il échet, d'en identifier clairement la (ou les) source(s).

7 Surtout dans les différentes séquences, à durée illimitée ou indéterminée, comportant de nombreuses ou infinies prolongations, du Série 2 de l'ouvrage intitulé « On se demande quand...». Pendant l'insupportable, l'interminable et...
- C’est une autre façon de torturer les gens, c'est une autre façon de leur manquer de respect, de porter atteinte à leur honneur et de fouler aux pieds leur dignité !
scandaleuse attente de la libération de Mopoie et Bangazegino.

8 Les crapuleux ? Cliquez (je n'ai vraiment pas envie de me répéter, ça sent trop mauvais), cliquez sur : 






Ndlr : Vous êtes perdu(e)s ?
Et vous vous demandez où trouver un plan de la ville, un menu de la semaine ou une table des matières quelconque… et comment avoir accès à chacune des différentes séries de séquences du buku « sorciers, services et crapuleux » ?
Problème ezali te, cliquez sur : http://sosecra.blogspot.be/








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